234 J 1-210 - Archives de la baronnie de Saint-Jeoire - 1264-[vers 1954] Extrait : ... Cd : organismes siégeant à Chambéry, cadastre sarde (1728-1738) ... Livres des numéros suivis du cadastre sarde. 1 ... Tabelles alphabétiques des propriétaires (cadastre sarde). Sous-série1 ... 1169 Ko Présentation du contenu : Ce répertoire détaillé décrit le fonds d'archives des seigneurs et barons successifs de Saint-Jeoire. Présentant les caractéristiques classiques d'un fonds seigneurial, il est pour l'essentiel composé de papiers de familles des nobles de Saint-Jeoire, de Mouxy, de Chabod-Saint-Maurice, et de Foncet de Montailleur, ainsi que d'archives domaniales relatives aux seigneuries et propriétés foncières acquises au fil du temps. En raison d'une documentation abondante, riche et variée, l'histoire de Saint-Jeoire peut être abordée sous différents angles d'études qui ont été jusqu'à maintenant négligés. Les archives seigneuriales sont ainsi un terreau extrêmement propice et fertile pour aborder nombre de sujets outrepassant la seule matière historique. Ce fonds suscite d'autant plus l'engouement que la richesse et la variété des fonds des Archives départementales de la Haute-Savoie apportent des compléments forts utiles, rendant ainsi possible une étude historique sur le territoire du Faucigny, à partir de la mise en place du maillage seigneurial jusqu'à l'affranchissement des communauté d'habitants au XVIIIe siècle, et même au-delà. Les archives communales de Saint-Jeoire (E DÉPÔT 241) et les papiers de la famille Béné (230 J) mettront au jour ces hommes et ces femmes qui, liés par des intérêts communs, forment une collectivité pour gérer ses affaires quotidiennes. Le lecteur pourrait être aussi sensible à l'histoire d'une famille pluriséculaire de notaires, les Béné, dont les relations de clientèle et d'interconnaissances leur permirent de vivre aisément dans une belle demeure bourgeoise. Ainsi, le présent inventaire ouvre des perspectives de recherches historiques variées qui amèneront certainement les chercheurs à ressusciter une société disparue, dont les pratiques sociales, les croyances et les mentalités nous sont aujourd'hui étrangères. Il est surtout une invitation à (re)découvrir le riche passé du Faucigny. Présentation du producteur : Saint-Jeoire bénéficie d'une situation géographique favorable, implantée au confluent du Risse et à son affluent, l'Isson. Enserrée au nord-ouest par la montagne de l'Herbette, à l'est par la chaîne du Don et au sud par le Môle, elle est située sur une voie de passage très fréquentée dès l'époque romaine par les commerçants allant de Genève à Taninges. Son emplacement stratégique justifia une installation humaine ancienne attestée depuis le Néolithique par des découvertes archéologiques majeures. Un bourg prospère se développe, protégé, à partir du XIIe siècle, par un réseau de châteaux. Détenus par des familles aristocratiques, les de La Fléchère et les de La Faverge se distinguent. Mais la maison de Saint-Jeoire occupe une place privilégiée possédant les châteaux du Rocher, de la Ravoire et de Turchon. Primitivement, la famille de Saint-Jeoire tenait le fief du même nom du seigneur de Faucigny. Dès le XIIe siècle, elle gravite dans l'entourage de ce dernier. Originaires du lieu, ses premiers membres sont désignés administrateurs domaniaux (villici) du seigneur de Faucigny en 1188. Ils participent également à la résolution des conflits en apparaissant régulièrement dans des listes de témoins, appelés à garantir l'exécution des clauses consignées dans de nombreuses chartes. En 1225, pour mettre un terme au contentieux opposant le comte de Genevois et le seigneur de Faucigny, Rodolphe de Saint-Jeoire compte parmi les arbitres choisis par les parties. Afin de s'assurer la fidélité de ses vassaux et rémunérer leur service, Béatrice de Faucigny concède en 1273 à Rodolphe de Saint-Jeoire, « son cher fidèle », la métralie dudit lieu. Étant tombée en commise, elle est finalement échangée avec la dîme de Cormand. Poursuivant cette politique, Bonne de Bourbon alberge en 1392 à Jean, fils de Mermet, et à Étienne, fils d'Amédée de Saint-Jeoire, plusieurs biens parmi lesquels une maison-forte située à Saint-Jeoire, identifiée par François Perron comme celle du Rocher. Fidèle des seigneurs de Faucigny, la famille s'est distinguée au cours de quelques expéditions militaires auxquelles prennent part plus particulièrement Pierre de Saint-Jeoire qui, en 1366, accompagne Amédée VI, dit le comte vert, à une « croisade » contre les Turcs en Bulgarie. Elle figure aussi en bonne place parmi les bienfaiteurs de nombreux établissements ecclésiastiques locaux. En 1188, Nantelme, évêque de Genève, confirme la donation faite par Ponce de Saint-Jeoire, Gui et Rifier, ses frères, à l'abbaye d'Aulps d'une vigne à l'usage du réfectoire des moines. Elle leur accorde son soutien lorsque cela est nécessaire ; en 1185, Ponce de Saint-Jeoire est cité parmi les témoins de la confirmation des privilèges de la chartreuse du Reposoir. Quelques décennies plus tard, en 1221, Rodolphe de Saint-Jeoire est présent lors de la donation d'Aymon de Faucigny faite à la chartreuse de Vallon. En 1263, Aymon de Saint-Jeoire et son épouse cèdent la terre qu'ils possèdent à Genève, où s'installera quelques années plus tard le couvent des dominicains de Plainpalais. Outre ces libéralités, certains membres de la famille prirent l'habit. En 1335, Pierre, doyen de Sallanches, donne à François, son frère, la maison forte de la Ravoire. En 1454, Jean de Saint-Jeoire institue comme héritier universel, Robert, son oncle, chanoine de Saint-Pierre de Genève. Jean de Saint-Jeoire, fils de Louis de Saint-Jeoire et de Jeanne de Compeys, fut prieur de Peillonnex entre 1521-1571 (ou 1569 ?). Mais le personnage le plus illustre de la maison de Saint-Jeoire est sans conteste Alamand de Saint-Jeoire qui accéda au siège épiscopal de Genève en 1342. Les Saint-Jeoire élisent leur sépulture aux monastères de Sixt et de Peillonnex. En 1318, Guillaume de Saint-Jeoire choisit d'être enseveli au monastère de Sixt, auquel il lègue 15 sous pour faire une pitance aux chanoines le jour anniversaire de sa mort. Pour autant, ils demeurèrent fidèles à leur berceau de Saint-Jeoire à l'image de Pierre et Jean qui souhaitent reposer dans l'église de Saint-Jeoire. En 1384, le premier désire être inhumé dans la chapelle fondée en l'église paroissiale par Hugues de Saint-Jeoire, tandis que Jean choisit, en 1406, d'être enterré au tombeau familial situé devant l'autel. Les nobles de Saint-Jeoire construisirent un vaste domaine foncier dès la seconde moitié du XVe siècle. En 1473, suite au décès de Marguerite de Menthonay, veuve de Pierre de Saint-Jeoire dit l'ancien, Louis, leur fils, est investi comme seigneur de Turchet. En épousant ce dernier, Jeanne, fille de feu Amédée de Compeys, reçut en dot 2000 florins hypothéqués sur la seigneurie de La Chapelle. En 1522, leurs enfants, Charles, Jean et François reçurent de Louis de Viry, héritier de Pierre d'Antioche, le château d'Yvoire et ses dépendances. Le fils aîné, François de Saint-Jeoire, prit le titre de seigneur d'Yvoire et porta dès lors le surnom d'Antioche. Le 19 mars 1529, il passa transaction avec Jean et Gabriel de Viry, héritiers de Louis de Viry, par laquelle il céda sous grâce de rachat les seigneuries de La Croix, Turchet et Menthonnex. En 1549, Claude de Conzié lui vendit l'ensemble de ses droits sur la seigneurie d'Hermance. Par cette acquisition, François de Saint-Jeoire est désormais désigné baron d'Hermance. Le 16 septembre 1578, Emmanuel-Philibert, duc de Savoie, concéda à François-Melchior de Saint-Jeoire, neveu de François de Saint-Jeoire, pour 3600 écus d'or le mandement et la juridiction de Féternes. Jean Martin du Fresnoy lui confie le fief de Bardonanche le 27 septembre 1583. Il acquiert également la curialité et châtellenie de Saint-Jeoire en 1591 de noble Claude de Sersonnex. Trois années plus tard, Robert de Montvuagnard consentit à lui vendre la juridiction de Senoche (7 juillet 1594). Quant à la seigneurie de Saint-Jeoire, elle fut cédée par un échange du 3 janvier 1586 intervenu entre François-Melchior de Saint-Jeoire († avant le 23 mars 1596) et Anne d'Este, duchesse de Genevois. Elle fut érigée en baronnie le 3 mai 1586, avant que le baron, dernier représentant de la famille de Saint-Jeoire, décéda sans descendance. En 1607, il fut procédé au règlement de sa succession au cours de laquelle ses biens furent partagés en plusieurs lots. Le premier fut adjugé lot à Antoine Saint-Michel d'Avully, époux de Jeanne-Andrée de Saint-Jeoire et sœur de feu François-Melchior de Saint-Jeoire, qui devint alors baron d'Hermance. Le second lot, composé de la baronnie de Féternes et de Saint-Jeoire, ainsi que le château de Troches, échut à Balthazard et Melchior de Mouxy. Ce dernier, neveu de François-Melchior de Saint-Jeoire, baron d'Hermance, décède ab intestat avant 1618, et sa nièce, Claudine-Adriane, transmit Saint-Jeoire, à son époux (mariage le 10 janvier 1619), Claude-Jérôme de Chabod-Saint-Maurice (15 novembre 1583-† 1er octobre 1653), comte de Saint-Maurice, seigneur de la Dragonnière. Un de ses fils, Maurice, exerça la charge de baron ou comte de Saint-Jeoire, jusqu'à son décès le 9 août 1709, sans héritier (?). Son neveu, aussi prénommé Maurice, hérita de la Baronnie, qui à sa mort fut transmise à son frère aîné Charles-Christin († 15 novembre 1712). Le neveu de ce dernier, Jean-Joseph, devint comte de Saint-Jeoire, titre qu'il porta sans doute jusqu'à sa mort en 1754. C'est à son fils, Henri-Anne-Joseph-Marie, que l'on doit la cession de la seigneurie de Saint-Jeoire à Jean-Joseph Foncet de Montailleur qui eut lieu le 15 juillet 1769. Attestée dans la première moitié du XVIIe siècle à Saint-Jeoire, la famille Foncet fit fortune dans le négoce de tissus : le premier membre connu, François Foncet, est marchand drapier à Saint-Jeoire en 1649. Son fils, Jean, exerce le même métier, mais son ascension sociale fut telle qu'il occupa la fonction de châtelain de Saint-Jeoire. Il rédigea ses dernières volontés le 16 mars 1715 et nomma Jean-Joseph Foncet comme son héritier universel. Né le 21 décembre 1707, juriste de formation, il exerça comme avocat à Bonneville. En 1739, il est reçut bourgeois d'Annecy. Cette même année, il épousa Péronne Baytaz de Doucy qui lui permit de nouer de nombreuses relations qui se concrétisèrent remarquablement. Il fut ainsi nommé conseiller d'État en 1749. Veuf, il se maria en secondes noces en 1754 avec la fille du président du Sénat, prénommée Catherne Astesan. Cette alliance matrimoniale lui offrit encore davantage. Il devient surintendant des archives en 1760 puis président et auditeur général des guerres en Savoie en 1768. Il mena une politique admirable d'acquisitions foncières lui procurant d'importantes rémunérations. Dans les années 1753-1754, il s'adjugea ainsi les droits seigneuriaux du fief de Bardonanche (paroisse de La Tour), puis ceux du château de la Fléchère en 1757 (paroisse de Saint-Jean-de-Tholome), et enfin ceux de la juridiction de Vozerier en 1773. À l'aube de la grande réforme de 1771, l'étendue territoriale de la baronnie est remarquable : au berceau de Saint-Jeoire se sont greffés d'importants domaines aujourd'hui situés sur les bords du lac Léman, en France mais aussi en Suisse. Anobli en 1771, Jean-Joseph vivait de ses nombreuses rentes, mais son train de vie fut menacé par une réforme profonde des institutions seigneuriales : l'affranchissement des fonds féodaux, prescrit par l'édit du 19 décembre 1771, mettait en péril ses ressources financières. Hostile à cette réforme malgré ses fonctions officielles auprès de S. M., il s'évertua à maintenir ses prérogatives seigneuriales et plus particulièrement à Saint-Jeoire. L'apaisement n'eut lieu qu'à son décès, le 7 septembre 1783. Après son inhumation « dans le charnier de sa chapelle sous les cloches », Pierre-Clément Foncet de Montailleur, son fils aîné, se chargea de mener à bien la volonté royale. Après de longues procédures, l'affranchissement de la communauté fut effectif le 16 mai 1785, lorsqu'il consentit à renoncer à ses droits seigneuriaux. « Aucune autre communauté […] n'a eu tant de difficultés et de dépenses à supporter pour parvenir au but de la liberté », reconnaît Max Bruchet. Docteur en théologie, Pierre-Clément Foncet de Montailleur occupa les fonctions de sénateur et d'avocat général au Sénat de Savoie. Il mourut le 17 avril 1812 à Genève et semble sceller le destin des barons de Saint-Jeoire, les sources restant muettes sur les titres portés par les descendants du sénateur. Seul Alexis Foncet de Montailleur, son fils, est désigné comte de Marcossay, titre accordé par le roi Charles-Félix en reconnaissance « de la considération dont jouit depuis longtemps en Faucigny la famille Foncet de Montailleur, non seulement à cause de sa noblesse, mais aussi à cause des charges importantes de la magistrature » (Amédée de Foras). Historique de la conservation : Le périple des archives baronniales de Saint-Jeoire entre le XIVe et le début du XVIIIe siècle est méconnu. Il est le fruit d'additions, d'agrégations et de soustractions au gré des alliances matrimoniales et des transactions domaniales : les seigneurs successifs y ont laissé leur empreinte, la guerre probablement aussi. Les destructions d'archives opérées par les Bernois en 1589 sont probables, mais inestimables. Ce qui est moins incertain, c'est que le fonds d'archives gagna le « château Foncet », dernière résidence des barons de Saint-Jeoire. La tradition attribue sa construction à Joseph Chabod de Saint-Maurice en 1735, dont les ruines du château de Saint-Jeoire ont d'ailleurs servi à sa construction. Les archives des seigneurs de Saint-Jeoire ont été précieusement conservées depuis lors dans ce lieu, et ont été transmises à Jean-Joseph Foncet de Montailleur, lorsque celui-ci acquit la seigneurie de Saint-Jeoire aux Chabod-Saint-Maurice en 1769. Elles y sont demeurées depuis et entrèrent dans le fonds des archives communales lorsque la mairie s'installa au château en 1993. Bibliographie : Les cotes entre crochets renvoient aux ouvrages conservés dans la bibliothèque des Archives départementales de la Haute-Savoie. Malgré une documentation abondante, l'histoire des seigneurs de Saint-Jeoire n'a guère éveillé la curiosité des chercheurs. Lorsque les Archives départementales possèdent deux exemplaires d'un ouvrage, nous donnons la référence [US] mise à disposition du public en salle de lecture, sans commande préalable. Instruments de travail BELY, Lucien (dir.), Dictionnaire de l'Ancien Régime : royaume de France, XVIe-XVIIIe siècle, Paris, Presses universitaires de France, 1996 [US 88]. BESSON, Joseph-Antoine, Mémoires pour l'histoire ecclésiastique des diocèses de Genève, Tarentaise, Aoste et Maurienne, et du décanat de Savoye, Moutiers, M. Cane, 1871 [US 493]. DEVOS, Roger, GABION, Robert, MARIOTTE, Jean-Yves, NICOLAS, Jean, ABRY, Christian, La pratique des documents anciens, Annecy, Archives départementales de la Haute-Savoie, 1995 [BIB 5469]. GABION, Dictionnaire des noms de famille de Savoie. Savoie, Haute-Savoie, canton de Genève, Montmélian, La Fontaine de Siloé, 2011 [US 8]. GALIFFE, Jacques-Augustin, Notices généalogiques sur les familles genevoises depuis les premiers temps jusqu'à nos jours, Genève, J. Barbezat, tomes I à III, 1829-1836 [US 149-151]. GALIFFE, Jacques-Augustin et alii., Notices généalogiques sur les familles genevoises depuis les premiers temps jusqu'à nos jours, tomes IV à VII, 1857-1895 [US 152-155]. GUICHENON, Samuel, Histoire généalogique de la Royale Maison de Savoye, Roanne, Édition Horvath, 1976, 3 volumes [US 467-468]. LANÇON, Régis, Le bon sens des mots. Glossographie historique, latine, héraldique, française et régionale, Douvaine, Chablais généalogie, 2008 [US 543]. LE FORT, Charles-Guillaume, LULLIN, Paul-Elisée, Régeste genevois ou répertoire chronologique et analytique des documents imprimés relatifs à l'histoire de la ville et du diocèse de Genève avant l'année 1312, Genève, Chez les principaux libraires, 1866 [US 253]. FORAS, Amédée de, Armorial et nobiliaire de l'ancien duché de Savoie, Grenoble, Allier frères, 1893-1910. Ouvrages généraux sur le Faucigny et Saint-Jeoire BAUD, Henri et MARIOTTE, Jean-Yves, Histoire des communes savoyardes, tome II Le Faucigny, Roanne, Édition Horvath, 1980 [US 257]. BENE, Georges, Saint-Jeoire en Faucigny. Un village de Haute-Savoie de son origine à nos jours, Saint-Jeoire, Ville de Saint-Jeoire, 2001 [BIB 5762]. BINZ, Louis, Les visites pastorales du diocèse de Genève par l'évêque Jean de Bertrand (1411-1414), Annecy, Académie salésienne, 2006 [US 557]. BLONDEL, Louis, Châteaux de l'ancien diocèse de Genève, Genève, Société d'histoire et d'archéologie, 1956 [US 252]. BRUCHET, Max, L'abolition des droits seigneuriaux en Savoie (1761-1793), Annecy, Imprimerie Hérisson frères, 1908 [BIB 1807]. CARRIER, Nicolas, La vie montagnarde en Faucigny à la fin du Moyen Âge. Économie et société, fin XIIIe-début XVIe siècle, Paris, l'Harmattan, 2001 [BIB 6500]. CARRIER, Nicolas, CORBIERE, Mathieu de la, Entre Genève et Mont-Blanc au XIVe siècle. Enquête et contre-enquête dans le Faucigny delphinal de 1339, Genève, Société d'Histoire et d'Archéologie de Genève, 2005 [PER 1464]. NICOLAS, Jean et NICOLAS, Renée, La vie quotidienne en Savoie aux XVIIe et XVIIIe siècles, Paris, Hachette littérature, 1979, pp. 46-47 [BIB 3658]. NICOLAS, Jean, La Savoie au XVIIIe siècle. Noblesse et bourgeoisie, Paris, Maloine, 1977-1978, 2 vol. [US 248]. SIROT, Élisabeth, Noble et forte maison, l'habitat seigneurial dans les campagnes médiévales du milieu du XIIe siècle au début du XVIe siècle, Paris, Éditions Picard, 2007 [BIB 6318]. Articles BÉNÉ, Georges, « Les archives baronniales de Saint-Jeoire-en-Faucigny », Mémoires et documents publiés par l'Académie du Faucigny, tome VIII, 1953-1954, pp. 19-22 [PER 1397]. BOUVERAT, Dominique, DEBIZE, Nathalie, « Les seigneuries de Turchet et Menthonnex », Échos saléviens, n° 24, 2016, pp. 7-20 [PER 1486]. BUJARD, Jacques, « Hermance, 1247-1997, une ville neuve médiévale », Société d'Histoire et d'Archéologie de Genève, tomes 25 à 27, pp. 1-81 [PER 1465]. FORESTIER, Louis, « Notice sur deux châteaux de Saint-Jeoire », Mémoires et documents publiés par l'Académie du Faucigny, tome V, 1943, pp. 89-90 [PER 1392]. LEHNER, Renée-Pierre, Mentions de personnes ayant œuvré dans le bâtiment et le génie civil, notamment à Saint-Jeoire-en-Faucigny, 1982 [F 509]. MANSAU, Andrée, « Les Chabod de Saint-Maurice : leur notabilité au XVIIe siècle », Congrès des Sociétés savantes de Savoie, pp. 221-222 [PER 1485]. PERRON, François, « Les seigneurs de Saint-Jeoire. Étude historique et sociale sur une famille féodale du Faucigny du XIIe à la fin du XVe siècle », Mémoires et documents publiés par l'Académie du Faucigny, tome X, 1957, pp. 27-42 [PER 1397]. TAPPONNIER, Paul, « Jean-Joseph Foncet de Montailleur », Revue Savoisienne, 1955, pp. 27-35 [PER 1391]. TAVERNIER, Hyppolite, « Les premières franchises de Saint-Jeoire. Notice et documents », Société savoisienne d'histoire et d'archéologie, tome XXIII, 1885, pp. 519-547 [PER 1394]. |