Présentation du contenu : Contrat de mariage entre Jean-François, fils de feu Claude-François Perrillat, des Poches, paroisse du Grand-Bornand et Jeanne-Marie, fille de feu Perrilliat-Collomb (27 mai 1714).
Obligation de Jean, fils de feu Claude-François Perrilliat, des Poches, paroisse du Grand-Bornand envers François Perrissin, faneur de la ville, de 400 florins avec un intérêt annuel de 20 florins (21 décembre 1716).
Partage entre Jean-François, Jean, Claude et Georges Perrilliat des biens, bois et bâtiments hérités de leur père, feu Claude-François Perrilliat et de leur oncle, feu Jean-François Perrilliat (24 octobre 1717).
Publication des biens de François, Claude-François et Claude-Louis, enfants de feu Jean Perrilliat Amédée du Grand-Bornand avec à charge pour l'acquéreur de nourrir et entretenir pupilles, de s'occuper des animaux et de payer 12 quartiers de tailles par an (5 avril 1718) ; prise des biens par Jean-François Perrilliat et rabais accordé par Jean-François Balthard, curateur, de 26 livres, 13 sous, 4 deniers en raison d'une tempête arrivée l'année précédente (3 juillet 1718) ; quittance dudit Balthard pour ledit Perrilliat des biens mentionnés dans la publication (9 juillet 1719).
Partage entre Jean, Claude, Georges et Jean-François, enfants de feu Claude Perrilliat, tous des Poches paroisse dudit Grand-Bornand, des biens laissés jusque-là en indivision (21 septembre 1724).
Acquisition de terres et bâtiments par Jean, fils de feu Claude-François Perrilliat, vendues par Jean-François Perrilliat, son frère, tous deux des Poches, paroisse du Grand-Bornand, pour le prix de 480 livres et 5 écus (10 juin 1726).
Quittance de François Perrissin de 150 livres (9 septembre 1726) ; quittance du même (30 mars 1727).
Quittance de François Perrissin pour François Perrilliat (25 octobre 1727).
Amodiation faite par Jean-François, fils de feu Claude Favre dit Albert, en qualité de tuteur et curateur des biens de François Perrilliat Amedé et de ses enfants de la paroisse du Grand-Bornand passé à Jean-François, fils de feu Claude-François Perrilliat pour un cens de 53 écus patagons pendant 2 ans (5 novembre 1730).
Quittance de Gaspard, fils de feu Jacques Hudry, de la Clusaz-Lieu-Dieu pour Jean et Jean-François, enfants de feu Claude Perrilliat des Poches, paroisse du Grand Bornand de 59 livres, 8 sous pour les intérêt de contrat de rente (9 décembre 1731).
Ordre de comparaître donné à Jean, Félix, Pierre et François Perrilliat Collomb sur requête de Jean-François Perrilliat, du Grand-Bornand (17 novembre 1732).
Quittance pour Jean-François, fils de feu Claude-François Perrilliat des Poches de 120 livres pour semblable somme à lui remis par contrat de vente et d'une somme due par contrat dotal (10 janvier 1738).
Rente constituée par Jean-François, fils de feu Claude-François Perrilliat pour Jean-Dominique et François, enfants de feu Jean Bastard Rosset, paroisse de La Cluse-Lieu-Dieu de 9 livres par an sur un capital de 150 livres (27 décembre 1738) ; quittance de Françoise Rafut et de François Bastard Rosset pour Jean-Pierre Perrillat Mandrier en qualité de tuteur de Marie, fille de Jean-François Perrilliat et pour Jean-Louis, fils de feu Joseph Agnellet, en qualité de mari de Jeanne-Claudine, l'autre fille de Jean-François Perrilliat de 170 livres pour des cens dus (12 mai 1743).
Quittance pour Jean-François Perrilliat (26 septembre 1740).
Exploit du sergent s'étant transporté pour convoquer Jean-François, fils de feu Claude-François Perrilliat devant le juge pour qu'il se défende (4 novembre 1740) ; quittance pour Jean-François, fils de feu Claude-François Perrilliat (30 décembre 1740).
Testament de Jean-François, fils de Claude-François Perrilliat, des Poches, paroisse du Grand-Bornand en faveur de ses filles Jeanne-Claudine et Marie qu'il nomme ses héritières universelles ou si elles venaient à mourir sans descendant, en faveur de ses frères, Pierre, Jean et Claude et leurs enfants (23 mars 1741).